A la mode en ce moment les objets connectés et la sous catégorie des objets connectés que l’on porte sur soi, les wearables, sont un peu partout. Qu’il s’agisse des bracelets, des lunettes, des montres, des semelles, des t-shirts, … pas un endroit du corps ne semble âtre épargné par la folie “objet connecté à porter”. Des événements tels que le CES qui vient de s’achever ne contredisent pas cela. Mais d’où viennent les wearables?
C’est l’entreprise APX, qui tente aujourd’hui d’expliquer rapidement via une infographie l’origine de cette déferlante des wearables. APX cette entreprise spécialisée dans les technologies connectées, tente donc de restituer l’origine de ce type d’objets connectés en empruntant un mode de restitution que l’on connaît bien: l’arbre généalogique. On part dans les années 1970 avec la montre à quartz, la cassette audio, la pellicule photo,… et tout doucement l’on arrive de nos jours aux smartphones aux smart watches et aux Google Glass.
Il a fallu presque 45 ans finalement pour arriver là où la technologie et les rêves des hommes nous ont amenés. L’infographie du jour semble indiquer que les parents sont plus nombreux que les enfants et que l’arbre généalogique a grandi par miniaturisation, numérisation et convergence. Cela s’est fait au détriment de la diversité des supports. Les objets sont devenus multi-usages. En gagnant en complexité ils ont su agréger plusieurs fonctions en un seul objet.
Pour l’auteur de l’infographie, l’avenir de wearable et surtout celui de son propriétaire ne fait pas de doutes: “un environnement connecté et des humains connectés qui marchent main dans la mais”. L’IOT et l’homme formeront un ensemble communicant. “Il y a un mariage naturel et un précieux renforcement de soi avec les wearables et l’IoT.” En d’autres termes, le futur est l’homme augmenté, le mariage de l’humain et de la machine. Et hop on arrive dans une autre réalité: la réalité virtuelle…
Ça vous fait rêver où est-ce (encore) de la science fiction?
