On parle beaucoup de l’internet des objets ou des objets connectés. Ils promettent monts et merveilles quelque soit le secteur qu’ils ciblent. Le sportif, le patient, la famille, l’automobiliste, l’hypocondriaque, l’insomniaque, … il y en a pour tout le monde. Les professionnels ne sont pas épargnés non plus. des solutions estampillées “professionnelles” existent et proposent leurs services adaptés à chaque secteur d’activité. Pas moyen d’y échapper. L’infographie du jour s’adresse particulièrement a l’internet des objets destiné au secteur public.
Il est annoncé que d’ici 2020, 20 milliards d’objets connectés communiqueront via les réseaux informatiques de la planète. A l’écoute des hommes, de leurs biens, de leurs champs, de leurs maisons, il seront également mis à contributions dans les villes, ces fameuses Smart Cities.
Pour le citoyen, l’IOT pourra être d’une certaine aide. Prenez le vote électronique par exemple. Dans ma ville c’est une machine qui sert d’urnes depuis quelques années maintenant. Elle vous propose les listes des candidats et il ne vous reste plus qu’à appuyer sur le bon bouton, à valider et à s’entendre dire de l’autre côté du rideau: “a voté!”.
On le voit, tout le monde y pense tout le monde s’y met. Est-ce un bien ou un mal? Je vous laisse juge. ce n’est qu’une constatation. Pour les gouvernements il s’agit d’une piste à explorer afin d’allier réduction budgétaire et amélioration des services aux citoyens comme le présente l’infographie ci dessous de manière très succincte, lançant des idées plutôt que répondant à des questions.
