La domotique est un domaine qui peut apporter bon nombre de bénéfices à nos maisons. On les trouve dans le confort bien entendu mais plus “sérieusement” dans les économies d’énergies, la sécurité, la sûreté,… Le législateur s’est intéressé à ces technologies sachant qu’il pouvait maintenant compter sur ces technologies afin d’améliorer la situation du parc des logements français. La domotique est en phase d’être intégrée dans un texte de loi non pas en tant que faire valoir ni de contrainte technologique mais en tant qu’acteur majeur dans le combat en faveur des économies d’énergies. Ce projet de loi en cours de préparation instaurerait la Smart Home en tant que partenaire technologique au service des maisons et appartements neufs et anciens.
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Legrand continue sa mutation. Le fabricant français élargit son offre de produits et de solutions en proposant des solutions domotiques de plus en plus abouties tout en respectant le métier d’origine du groupe à savoir les équipements électriques. Nous avions déjà eu l’occasion de faire connaissance avec MyHome domotique il y a quelques années. Pour rappel il s’agit d’une solution de domotique basée sur le principe qu’un bus filaire véhicule les ordres et les relevés entre les périphériques entre eux et le tableau électrique qui abrite l’intelligence du système. L’offre évolue aujourd’hui avec MyHome Play, une solution de Smart Home sans fils qui ne laisse pas de côté les spécificités du groupe.
Parmi les solutions domotiques disponibles sur le marché, plusieurs d’entre elles utilisent comme alimentation celle délivrée au final par un chargeur USB. C’est le cas de la box Eedomus mais également de toutes les solutions à base de Raspberry Pi. Ces solutions peuvent accueillir des clés USB sur leurs ports dans le but d’étendre leur fonctionnalités. On se rend rapidement compte que ces périphériques USB prennent des ressources sur la box et peuvent dysfonctionner si la puissance électrique requise par ses dongles excède les capacités de la box. La solution est d’apporter à la box les services d’un hub USB auto alimenté. La cerise sur le gâteau est que ce Hub puisse aussi alimenter la box elle même.
Somfy ne fabrique pas que des motorisations de volets roulants. Somfy n’est pas qu’un fournisseur d’alarmes non plus. Somfy est également un acteur de la Smart Home. La marque française propose en effet depuis quelques temps 2 solutions domotiques. La première appelée Somfy Box est axée sur une installation par le client final. La seconde, prénommée Tahoma, est plus complète et doit être installée par un partenaire agréé. Techniquement les solutions 2 partagent la même plateforme et bon nombre de caractéristiques communes. A ce jour les offres sont d’ailleurs très similaires. Somfy terminé de revoir un peu son offre et a rendue sa copie. Exit donc Somfy Box et TaHoma et bienvenue à TaHoma… et TaHoma Premium.
Dans mon séjour je n’ai pas de plafonnier. Enfin si, mais uniquement du côté salon. La lumière de la partie salle à manger est fournie par une source indirecte. Une lampe est posée sur un meuble et nous permet de voir ce que l’on mange. Enfiin c’est surtout important pour les convives car ayant officié en cuisine j’en ai une petite idée. Disposant d’un interrupteur classique à l’entrée du salon je souhaitais le mettre à contribution pour agir sur cette lampe. Voici comment créer une prise commandée via l’association Z-Wave avec un micromodule encastrable relié à un interrupteur et et une prise pilotée.
Il y quelques jours je vous ai présenté la caméra Welcome de Netatmo. Cette petite caméra design a pour principale caractéristique de pouvoir reconnaître les visages et de relayer l’information en conséquence. L’article qui lui était dédié est consultable ici si vous n’avez pas lu ce test. La caméra refait l’actualité en proposant de nouveaux services. tout dernièrement. Ils sont au nombre de trois: une meilleure reconnaissance faciale, la possibilité d’envoyer les vidéos sur un site FTP et enfin la détection d’alarmes.
Les périphériques autonomes sont très nombreux pour prendre en charge des besoins ciblés de la Smart Home. Vous n’avez qu’à parcourir les catalogues des objets connectés pour la maison et vous verrez que pour des fonctionnalités ciblées il n’y a pas besoin d’installer une box et qu’il existe certainement un représentant de l’Internet de Objets répondant à votre attente. Ils ont tous en commun le fait de faire appel au Wi-fi ou au Bluetooth. Smockeo fait partie de cette nouvelle catégorie d’objets connectés qui font appels à des connectivités via des réseaux alternatifs. Smockeo utilise le réseau Sigfox pour devenir un objet connecté.
Cette phrase un brin provocatrice n’est pas la mienne. Elle aurait pu car je partage ce sentiment exprimé par le patron de la Z-Wave Alliance dans une tribune qu’il a écrite dernièrement et dans laquelle il prône le changement dans la manière de voir et vendre la domotique. Pour lui la domotique n’est plus. La Smart Home est en péril. Seule l’expérience de l’utilisateur, ses besoins et ses cas d’usages sont en mesure de pouvoir enfin faire décoller ce secteur. Il faut transformer une activité centrée sur la technologie en un secteur dirigé vers le service à valeur ajoutée. Pour Mitchell Klein, il faut maintenant que le secteur de la Smart Home cesse de tenter de vendre en vantant les caractéristiques des produits pour la Smart Home et s’efforcer d’adresser les besoins et les cas d’usages concrets des clients.
Athemium est à ce jour un nom, une marque qui est peu connue du grand public. Et pour cause, elle se dédie à ce jour au secteur professionnel. Dès le mois prochain, cette start-up de Lanion proposera ses compétences au grand public via une box domotique appelée Ze Cocoon. Il est temps de découvrir ce nouvel arrivant qui souhaite participer à l’automatisation de la maison tout en s’adaptant au maximum à votre mode de vie.
Parmi les entreprises qui regardent de très près le secteur des objets connectés, les assureurs sont très actifs. Que ce soit pour la santé des personnes, celle des véhicules ou encore celle des maisons, il est vrai que l’IOT a des solutions à proposer qu’il serait dommage d’ignorer. Dans son infographie intitulée “Objets connectés : Vrais outils ou Super Gadgets?” l’assureur AXA tente de cerner les tendances et les mouvements de sociétés autour de l’Internet des Objets. Entre effet de mode et révolution durable on a encore pas assez de recul pour se prononcer et statuer. Mais en attendant, des tendances se dessinent concernant les attentes des français en terme d’objets connectés.
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