Si vous êtes du genre à donner de la voix dans votre douche, vous êtes certainement par la même occasion un danseur sous cette pluie d’eau potable. En faisant attention à ne pas glisser bien évidemment. En cette période hivernale l’exercice peut être moins confortable. Sortez du dessous du jet et c’est le froid qui se plaque contre vous. Pour ce besoin de rester à tout instant sous le filet d’eau chaude, il y a aussi un objet intelligent. Si, si. Il se nomme Aqualize.
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La plupart de objets électriques ou électromécaniques émettent, lorsqu’on prend en main, des ondes électromécaniques. C’est un phénomène tout à fait normal même si cela ne fait qu’entretenir le “bruit” des ondes ambiantes me direz-vous. Ne vous en faites pas pour autant ces ondes sont imperceptibles. Cette pollution électromagnétique peut être détectée pour être utilisée de manière astucieuse. La technologie EM-Sense développée par le département de recherche de Disney permet d’utiliser cette détection des ondes permettant d’identifier un objet afin de permettre une interaction nouvelle avec les appareils électriques de notre quotidien.
Mardi 10 novembre 2015 le petit mode du design et de l’ingénierie retenait son souffle. Le lauréat international du James Dyson Award 2015 était dévoilé. Ce fut l’occasion en fin de journée de me rendre dans le QG parisien de Dyson afin de découvrir les inventions des lauréats de ce même concours mais au niveau national. Ils avaient été dévoilés un peu plus tôt dans l’année mais l’honneur leur était rendu à l’occasion de la désignation du vainqueur du grand prix international.
La Dutch Design Week 2015 a vu passer pas mal de projets intéressants. Parmi les participants à cet événement qui s’est tenu du 17 au 25 octobre à Eindhoven, Le projet Groundfridge a fait parlé de lui. Il reprend et réinterprète une manière de conserver les aliments qui a traversé les siècles et que le concepteur à remis au gout du jour. Groundfridge peut être catalogué de réfrigérateur pour denrées alimentaires fonctionnant sans électricité… sous la terre.
Mercredi dernier s’est tenu à Paris pour la 3ème année consécutive, un salon fort intéressant pour tous ceux qui s’intéresse à l’innovation en général et aux objets connectés en particulier. La 3ème édition du CES Unveiled Paris, qui s’est déroulé cet après midi du 21 octobre 2015, marque l’intérêt croissant qu’ont les organisateurs du CES de Las Vegas pour le potentiel de création et d’innovation que représente la France. Tout un pan de l’industrie des nouvelles technologies s’était donné rendez-vous au Pavillon Cambon Capucines pour célébrer l’innovation et les nouvelles technologies. Des startups avaient fait le déplacement tout comme des puissants groupes industriels sans oublier les média venus très nombreux pour couvrir l’événement. Abavala y était également!
Le réveil sonne. Une dure journée commence. Le plus pénible c’est de se lever. Surtout que l’on est vendredi et que l’on a accumulé toutes la fatigue de la semaine. Bref… Pour pouvoir gagner quelques précieuses secondes (ou minutes soyons fou!) on peut déclencher la machine à café à distance ou bien la régler sur l’heure de réveil pour quelle se lance automatiquement. C’est l’un des bénéfices de la smart home. Et si de manière naturelle le fait d’éteindre le réveil, ou de repousser la sonnerie de 9 min (soyons prévoyants) déclenchait la cafetière? On parle de réveil, mais ça airait pu être la lampe de chevet qu’importe, votre domotique sait quel appareil vous avez activé et surtout quelle est votre besoin. C’est la promesse de MagnifiSense : vous transformer en périphérique domotique.
En mars 2015 je vous avais fait part d’un classement qui tentait de quantifier l’intérêt des consommateurs pour l’Internet des Objets en général. La domotique y était le grand vainqueur. Cette photo finish n’est pas forcément une Nième prédiction d’un cabinet ou d’un analyste. Elle est construite par le site allemand iot-analytics.com qui propose la mise à jour du 2ème trimestre 2015 de son analyse trimestrielle de l’Internet des Objets. Voyons ce que’ le classement nous réserve comme surprises.
Tous les moyens sont bons pour produire de l’électricité. Si ces moyens utilisent des énergies renouvelables, Il y a de grandes chances que pour la planète ils soient meilleurs que d’autres. Parmi les sources dites propres, l’énergie éolienne est l’une des plus plébiscitées. Tout du moins sur le papier, car mettre en oeuvre la transformation de cette énergie renouvelable en énergie électrique n’est pas sans poser de problèmes. Il y a certes le rendement qui ne cesse de s’améliorer, mais la première contrainte concerne l’emplacement géographique des éoliennes. Les pylônes garnissent les campagnes mais dans les régions montagneuses l’implantation des éoliennes est un vrai sujet. Les ponts existants et autres viaducs commencent à être étudiés pour devenir des supports potentiels aux éoliennes.
Les réactions chimiques peuvent être utilisées à bon escient afin d’apporter des solutions concrètes dans n’importe quel coin du globe. SALt en est encore une preuve. Il s’agit d’une lampe puisant son énergie électrique lui permettant de faire briller les LEDs d’une réaction chimique à base d’eau et de sel. Elle peut donc fonctionner dans les coins les plus reculés du monde (l’eau n’a pas besoin d’être potable) elle peut également apporter son aide précieuse en cas de catastrophe naturelle aux bord des côtes, en utilisant de l’eau de mer comme combustible. Conçue aux Philippines, un pays qui est soumis très régulièrement aux attaques des événements de la nature, cette solution simple prend tous son sens.
Je vous propose aujourd’hui une sympathique infographie intitulée « Le Big Data au quotidien ». Avec le terme objet connecté, le Big Data est sans nul doute l’un des mots les plus utilisés dans les discours ou écrits traitant de l’industrie du numérique au sens large. Il n’échappe ni aux médias ni aux communications officielles des industriels qui abordent des sujets tels que l’innovation et les “nouveaux marchés”. Cette infographie permet de faire le point en quelques minutes sur cet aspect de l’économie du numérique.
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