La French Tech est à la mode. Mais que sait-on vraiment de cette initiative? Si vous suivez ce blog depuis quelques temps vous savez déjà que la French Tesch est née en 2014 alors que Fleur Pellerin était ministre déléguée auprès du ministre du Redressement productif, chargée des petites et moyennes entreprises, de l’innovation et de l’économie numérique. Depuis avec Axelle Lemaire, l’initiative a continué à se déployer dans le tissu des Startup en prenant soin de favoriser le rayonnement international de l’innovation “à la française”. Dès le départ, la ministre avait averti : l’initiative French Tech ce n’est pas l’Etat qui encadre, c’est l’Etat qui soutient. Une précision de taille qui permet de se présenter comme une “ambition partagée, impulsée par l’Etat mais portée et construite avec tous les acteurs“.
Pour chercher une définition de la French Tech il suffit finalement de se rendre sur le site qui lui est dédié pour lier la définition suivante:
La « French Tech » désigne tous ceux qui travaillent dans ou pour les start-up françaises en France ou à l’étranger. Les entrepreneurs en premier lieu, mais aussi les investisseurs, ingénieurs, designers, développeurs, grands groupes, associations, medias, opérateurs publics, instituts de recherche… qui s’engagent pour la croissance des start-up d’une part et leur rayonnement international d’autre part .
Ce qui est intéressant de noter c’est que la French Tech n’est pas une nouvelle organisation d’état ni de nouvel outil public. Une équipe restreinte porte l’organisation des actions de la Mission French Tech. Elle n’est pas non plus livrée à elle même en s’autorisant à aller là où elle veut. Elle travaille étroitement avec les Directions des Ministères de l’économie et des finances (Direction générale des entreprises, Direction générale du trésor), des Affaires Etrangères et avec le Commissariat Général à l’Investissement. Elle compte bon nombre de partenaires qui agissent en piliers de l’initiative. On compte dans ses rangs les opérateurs nationaux qui coordonnent leurs actions en faveur des startups : la Caisse des dépôts, Bpifrance et Business France.
Le programme de la French Tech s’articule autour de trois axes :
- fédérer tous les acteurs français de la high-tech grâce à une labellisation des “métropoles French Tech”.
- accélérer la croissance de ces starts-ups par le biais notamment d’un soutien financier
- favoriser leur rayonnement international.
L’initiative « French Tech » a donc pour objectif de fédérer toutes celles et ceux qui créent la dynamique d’innovation en France. C’est avant tout un label où un étendard derrière lequel peut se rassembler tous les acteurs de l’économie numérique français : start-ups, grands groupes, collectivités, opérateurs publics, instituts de recherche, associations, investisseurs, ingénieurs, designers, développeurs, medias… qui s’engagent pour la croissance des start-up d’une part et leur rayonnement international d’autre part.Intéressé pour rejoindre cette dynamique en faveur des startups? Suivez le guide avant de vous inscrire :
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